Clear, Loud, Bright, Forward
Musique - Nico Muhly
Chorégraphie - Benjamin Millepied
Scénographie - United Visual Artists
Lumières - Lucy Carter
Costumes - Iris Van Herpen
Création
Opus 19/ The Dreamer
Musique - Serguei Prokofiev (Concerto pour violon n°1 en ré majeur)
Direction musicale - Maxime Pascal
Chorégraphie - Jerome Robbins
Costumes - Ben Benson
Lumières - Mark Stanley
Entrée au répertoire
Thème et variations
Musique - Piotr Ilyitch Tchaikovski
Chorégraphie - George Balanchine
Lumières - Mark Stanley
Ballet entré au répertoire du Ballet de l'Opéra de Paris le 24 juin 1993
Modestement, l'affiche Robbins/Millepied/Balanchine est devenue entre la présentation de la saison et la première, Millepied/Robbins/Balanchine (l'ordre de présentation hein!). Ainsi, le lancement de la saison du Paris City Ballet s'effectuait avec une triple bill assortissant une création insipide et deux vieilleries américaines familières du directeur du ballet.
Musique - Nico Muhly
Chorégraphie - Benjamin Millepied
Scénographie - United Visual Artists
Lumières - Lucy Carter
Costumes - Iris Van Herpen
Création
Opus 19/ The Dreamer
Musique - Serguei Prokofiev (Concerto pour violon n°1 en ré majeur)
Direction musicale - Maxime Pascal
Chorégraphie - Jerome Robbins
Costumes - Ben Benson
Lumières - Mark Stanley
Entrée au répertoire
Thème et variations
Musique - Piotr Ilyitch Tchaikovski
Chorégraphie - George Balanchine
Lumières - Mark Stanley
Ballet entré au répertoire du Ballet de l'Opéra de Paris le 24 juin 1993
Modestement, l'affiche Robbins/Millepied/Balanchine est devenue entre la présentation de la saison et la première, Millepied/Robbins/Balanchine (l'ordre de présentation hein!). Ainsi, le lancement de la saison du Paris City Ballet s'effectuait avec une triple bill assortissant une création insipide et deux vieilleries américaines familières du directeur du ballet.
Si Thème et Variations a ses vertus, il n'en est pas de même de Opus 19/The Dreamer de Jerome Robbins, un pensum, il faut le dire.
Inutile de revenir sur la création gentillette de Benjamin Millepied, déjà vue lors du gala d'ouverture et qui, malheureusement, ne gagne rien à être revue.
Quelle idée de faire entrer au répertoire Opus 19/The Dreamer ? On comprend bien le clin d'oeil symbolique du directeur à son mentor new yorkais mais pourquoi cette pièce ? Sa malhabile esthétique balanchinienne n'arrange rien, ni pour les solistes, ni pour le corps de ballet mal à l'aise. Mathieu Ganio s'en sort grâce à l'étonnante capacité qu'il a acquis ces dernières années à rêver sur scène alors qu'on ne lui confie souvent que des rôles ennuyeux. C'est lui qu'on admire et pas cette pièce désuète comme on peut le constater avec les autres solistes.
Benjamin Millepied a fait sa saison en fonction de ses goûts, ce qui est tout à fait légitime, mais il a également fait aussi fi de son potentiel humain qui, in fine, est incapable de réaliser ses ambitions.