dimanche 22 décembre 2013

Le Parc - Rencontre

Stéphane Bullion - Isabelle Ciaravola

samedi 21 décembre 2013

Le Parc - Résistance

Stéphane Bullion - Alice Renavand

vendredi 20 décembre 2013

mercredi 18 décembre 2013

Le Parc - Abandon

Stéphane Bullion - Laetitia Pujol


samedi 7 décembre 2013

Le Parc 7-31 décembre 2013


Le Parc
Chorégraphie - Angelin Preljocaj
Musiques - Wolfgang Amadeus Mozart, extraits de pièces pour cordes et de concertos pour piano
Création sonore - Goran Vejvoda
Décors - Thierry Leproust
Costumes - Hervé Pierre
Lumières - Jacques Chatelet
Ballet créé pour le Ballet de l'Opéra de Paris le 9 avril 1994
Orchestre de chambre de Paris - direction musicale Koen Kessels, au piano Elena Bonnay ou Vessela Pelovska

La description synoptique du Parc se trouve à l'entrée du  6 mars 2009

Nicolas Le Riche
Distribution de la Première, 7 décembre 2013
Aurélie Dupont & Nicolas Le Riche

mercredi 4 décembre 2013

La Belle au bois dormant 4 décembre 2013 - 4 janvier 2014

La Belle au bois dormant
Ballet en un prologue et trois actes d'après le conte de Charles Perrault
Musique - Piotr Ilyitch Tchaikovski
Chorégraphie et mise en scène - Rudolf Noureev d'après Marius Petipa
Décors - Ezio Frigerio
Costules - Franca Squarciapino
Lumières - Vinicio Cheli
Orchestre de l'Opéra national de Paris
Direction musicale - Fayçal Karaoui


Aurélia Bellet
Distribution de la Première, 4 décembre 2013
La Princesse Aurore - Eleonora Abbagnato
Le Prince Désiré - Mathieu Ganio

jeudi 14 novembre 2013

Saburo Teshigawara/Trisha Brown/Jiří Kylián

Doux Mensonges
Alice Renavand - Stéphane Bullion - Eleonora Abbagnato
L’expérience Teshigawara montre une nouvelle fois qu’il ne suffit pas de mettre ensemble d’excellents éléments pour faire, si ce n’est un chef d’œuvre, simplement une œuvre. Esotérisme trop poussé ou prétention exacerbée du chorégraphe multitâche, la vacuité de son propos se confirme lorsque la blessure de Nicolas Le Riche laisse Jérémie Bélingard et Aurélie Dupont improviser quelque chose qui finalement, à défaut d’être intéressant, n’est pas pire que l’original. Tout se passe comme s'il n’y avait pas d’œuvre de Saburo Teshigawara, juste de formidables danseurs qui tiennent la scène par leur virtuosité…


Laurence Laffon - Caroline Robert

Avec Trisha Brown, c’est l’inverse. Tout est écrit, nul besoin d’artifice. Le propos serré de la chorégraphe peut servir de trame à un moment intense sans virtuosité singulière. L’austérité du décor et l’absence de musique ne divertissent pas, ils servent le détail. Inclus dans une systématique qui se dévoile peu à peu, les mouvements fascinent puis intriguent. Le discours sous-jacent de Glacial Decoy est profond, il s’insinue dans nos esprits comme au fil de la lecture d’un livre. L’illusion visuelle, l’illusion sonore, l’illusion créatrice, tout sert à  prolonger en soi et par devers soi les évolutions des danseuses.
Au jeu de l’instant, les deux distributions complètement différentes donnent deux paradigmes, la fugacité chez les volatiles Laurence Laffon, Caroline Robert, Letizia Galloni, Juliette Hilaire et Miho Fujii et la gravité chez les terriennes Caroline Bance, Séverine Westermann, Christelle Granier, Gwenaëlle Vauthier et Claire Gandolfi, ce qui n’est pas non plus sans enrichir la réflexion.

Christelle Granier

Pour terminer la soirée, Jiří Kylián vient apporter sans en avoir l’air tout l’onirisme que Teshigawara s’escrime à créer artificiellement avec quelques fumerolles et fanfreluches virevoltantes. Avec ce soupçon de gravité qui enrichit l’être humain à travers l’art, il offre avec Doux mensonges, l’œuvre totale qui transporte sens et esprit.
Tout dans ce court ballet s’emboîte à la perfection pour ne plus faire qu’un visuel magnifique doué de signification. Mais s’il arrive à ce résultat, c’est aussi grâce au travail de précision des plusieurs composantes artistiques qui fusionnent à merveille dans l’œuvre.

Aurélia Bellet

La scène surplombée par un seul tulle mordoré est cernée d’un mur gris dévoilant des ombres fantasques et d’un écran noir aux projections en demi-teintes ; un chant géorgien et un choix d’œuvres vocales de Carlo Gesualdo et Claudio Monteverdi complètent un cocon visuel et sonore très pur au ballet où angoisse, mélancolie et tristesse sont de mise. Les danseurs et les chanteurs se mêlent physiquement et artistiquement dans un espace multidimensionnel où tout dialogue. En ouvrant la scène à l’aide de trappes qui prolongent en fiction sur l’écran ou en réalité les évolutions dansées, Kylián tisse subtilement une trame scénographique qui suggère la teneur complexe des rapports des duos qu’il présente. La métaphore du monde caché des coulisses expose au grand jour la profondeur du propos. Car la richesse de cette œuvre puissante, c’est qu’au-delà de l’esthétisme, le chorégraphe questionne.

Stéphane Bullion - Alice Renavand 
Deux couples restituent des instants de vie dans des interactions et attitudes qui exhalent un sens du mouvement organique, unique chez le chorégraphe. Les corps se délient, se contractent et se recomposent dans la même finalité. C’est le monde des apparences sous les feux de la scène, mais à travers l’écho des sombres coulisses, deux visions, tout en utilisant ce même langage chorégraphique, définissent des humeurs et des états différents.
Une sérénité magnifiée par le charisme d'Eleonora Abbagnato ou la douceur féline d'Alessio Carbone anime un contrepoint libre au couple des ténèbres. Avec celui-ci, aussi bien Aurélia Bellet qu’Alice Renavand font ressentir les émotions des troubles intérieurs dans une pudeur délicate voire sacrificielle. L’amertume voilée au retour paisible sur scène du couple après un viol conjugal dans les sous-sols de Garnier prend le spectateur à la gorge, à la fois dans le fond et la forme, alors même que les grognements de chien qui attaque accompagnant la violence d'un Stéphane Bullion au regard d'acier, viennent de rompre la tonalité insouciante de la soirée.

Stéphane Bullion - Alice Renavand 

Dans le quatuor final, lorsqu'à la froideur distante d’Alice Renavand s’oppose le lyrisme d’Eleonora Abbagnato, pas totalement résignée à l’infidélité suggérée de son compagnon, on ressent la pesanteur d’un monde terrible du drame tu dans un cas ou du quotidien sans réel bonheur dans l’autre. La force tranquille et impassible des hommes n'en paraît alors que plus menaçante, la gravité et le tranchant des mouvements des femmes comme des douleurs qu’on cache, mais sans pathos, révèlent des moments d’émotions graves et subtiles liées à la sphère de l’intime, l'univers des non-dits.
Doux Mensonges dit le titre de l’œuvre, celui de l’art ou du propos qu’il donne à voir ? Alternative qui permet de jouer avec le ressentir de chacun. Avec Kylián, le plaisir ne peut-il être que coupable ?


jeudi 31 octobre 2013

Saburo Teshigawara/Trisha Brown/Jiří Kylián 31 octobre-14 novembre 2013


Darkness is Hiding Black Horses
Chorégraphie, musique, scénographie, costumes et lumières - Saburo Teshigawara
Eléments sonores - Tim Wright, Akira Oishi
Musique additionnelle - Daniel Burke / Illusion of safety (Dissenting voices, extrait de Water seeks its own level, 1994)
Musique enregistrée
Création
Durée 26 mn

Jérémie Bélingard, Aurélie Dupont, Nicolas Le Riche

Nicolas Le Riche


Glacial Decoy
Ballet dans le silence
Chorégraphie - Trisha Brown (1979)
Photographies, scénographie et costumes - Robert Rauschenberg
Lumières - Beverly Emmons
Ballet entré au répertoire de l'Opéra national de Paris le 17 décembre 2003
Durée 18 mn 

Laurence Laffon, Caroline Robert,
Miho Fujii, Letizia Galloni, Juliette Hilaire
ou
Caroline Bance, Séverine Westermann
Claire Gandolfi, Christelle Granier, Gwenaëlle Vauthier

Laurence Laffon
Doux Mensonges
Musiques - Chant traditionnel géorgien et madrigaux de Carlo Gesualdo (IV et XVII du livre VI), Claudio Monteverdi (extraits du IIe et IIIe livres)
Chorégraphie - Jiří Kylián
Scénographie et lumières - Michael Simon
Costumes - Joke Visser
Images en direct réalisées par le service vidéo de l'Opéra
Ballet créé pour le ballet de l'Opéra national de Paris le 20 mai 1999
Durée 26 mn

Les Arts Florissants
Direction Musicale - Paul Agnew

Eleonora Abbagnato et Vincent Chaillet
Stéphane Bullion et Alice Renavand
ou
Aurélia Bellet et Alexandre Gasse
Alessio Carbone et Eve Grinsztajn

Stéphane Bullion - Alice Renavand

jeudi 10 octobre 2013

mercredi 9 octobre 2013

La Dame aux Camélias


Stéphane Bullion - Michaël Denard - Agnès Letestu

Stéphane Bullion - Agnès Letestu

Stéphane Bullion - Agnès Letestu

Stéphane Bullion - Agnès Letestu


Stéphane Bullion - Agnès Letestu

Stéphane Bullion - Agnès Letestu

Stéphane Bullion - Agnès Letestu

Stéphane Bullion - Agnès Letestu

dimanche 22 septembre 2013

La Dame aux Camélias Première 21 septembre 2013

Stéphane Bullion - Agnès Letestu

Marguerite : Agnès Letestu
Armand : Stéphane Bullion
Monsieur Duval : Michaël Denard
Prudence : Nolwenn Daniel
Gaston Rieux : Nicolas Paul
Le Duc : Laurent Novis
Le Comte de N. : Simon Valastro
Manon Lescaut : Eve Grinsztajn
Des Grieux : Christophe Duquenne
Olympia : Myriam Ould-Braham

Cinquième reprise de la Dame aux Camélias à l’Opéra de Paris depuis 2006, la Première mettait en vedette le couple phare de ces dernières années, Stéphane Bullion et Agnès Letestu, immortalisés sur le DVD en 2008. Bien des événements se sont passés depuis et le post ado timide et taiseux dessiné par Stéphane Bullion en 2008 est devenu un homme fougueux, torturé dans son amour, alors que la Marguerite d’Agnès Letestu est de plus en plus profonde et raffinée dans le jeu. Les deux danseurs sont en osmose et narrent l’histoire dans un élan romantique et une passion inégalée. Les scènes s’écoulent et on se prend quelquefois à oublier que les personnages dansent tellement leur jeu d’acteur est passionnant, chaque moment délivrant une multitude de gestes porteurs d’émotions d’une richesse infinie. 

Stéphane Bullion - Agnès Letestu

L’Opéra de Paris n’est pas très fan des partnerships et contraint souvent les danseurs à changer de binôme mais si le ballet de John Neumeier se prête particulièrement à un approfondissement des relations sur scène, la  dynamique et la complicité du couple Stéphane Bullion-Agnès Letestu est un bonheur qui ne peut qu’être né de ce travail récurrent de profonde connaissance de soi et de l’autre dans l’interaction scénique. Certes, le don de l’acting n’est pas accordé à tous les danseurs et l’alchimie de leur rapport s’est constatée dès 2008 lors de leur première rencontre mais en s’affranchissant totalement des contraintes techniques, le caractère très riche de la théâtralisation offerte lors de cette Première relève presque de la synesthésie. 

Stéphane Bullion - Agnès Letestu

Leur fusion dramatique, intellectuelle et émotionnelle produit une narration particulièrement limpide alors que très documentée et alimentée par une multitude de détails qui s'emboîtent magistralement les uns dans les autres, simplement et naturellement. Les sentiments, au principe de l'histoire, s’expriment autant dans la danse que dans les longs passages non dansés, le regard aux multiples facettes de Marguerite, les attitudes d’Armand assis dans sa tanière ou lisant le journal de Marguerite. 

Stéphane Bullion - Agnès Letestu

Les trois pas de deux autour desquels le ballet s’articule posent des jalons dans la progression dramatique où le couple évolue avec clarté dans les sentiments, la séduction, l’épanouissement, la maturité jusqu'à la colère et la déception.  Agnès Letestu décrit les états d’âme de ses aspirations et ses renoncements avec une poignante justesse, Stéphane Bullion révèle une infinité de teintes dans son plaisir comme dans son désarroi.  
Séparément, ils nourrissent la compréhension de leurs rapports communs, car une des grandeurs de ce partnership, c'est de tenir la même ligne dramatique  lorsqu'ils ne sont pas ensemble sur scène. La douleur de Stéphane Bullion, dans un solo de la Lettre d’une violence incroyable, fait écho à la misère d’Agnès Letestu dans les passages avec le père Duval et Manon, comme un dialogue surnaturel où finalement, tout en s'affrontant, ils se comprendraient dans l'inéluctable manière dont tout va se terminer.

Stéphane Bullion - Agnès Letestu

Tout est tellement prenant et intense dans leur relation qu’ils monopolisent l’attention, ce qui est d’autant plus facilité par les personnages annexes, aides à la narration remarquablement interprétés par le couple miroir, Manon/Des Grieux, un Christophe Duquenne parfaitement décadent et la glamour Eve Grinsztajn et les amis Gaston/Prudence un Nicolas Paul sémillant et une mutine Nolwenn Daniel.

Pour l’ouverture de la saison, on ne pouvait rêver plus parfaite soirée.

John Neumeier saluant ses artistes
(Christophe Duquenne - James Tuggle - Agnès Letestu - Stéphane Bullion - Nolwenn Daniel- Frédéric Vaysse-Knitter)

samedi 21 septembre 2013

La Dame aux Camélias 21 septembre - 10 octobre 2013


La Dame aux Camélias
Ballet en un prologue et trois actes d'après le roman d'Alexandre Dumas fils
Musique - Frédéric Chopin
Chorégraphie et mise en scène John Neumeier (1978)
Décors et costumes - Jürgen Rose
Lumières - Rolf Warter
Ballet entré au répertoire de l'Opéra de Paris en le 20 juin 2006
Orchestre de l'Opéra national de Paris
Direction musicale - James Tuggle
Pianos - Emmanuel Strosser, Frédéric Vaysse-Knitter
La description synoptique du ballet se trouve dans l'entrée sur le ballet de 2008 "La Dame aux Camélias 21 juin-11 juillet 2008"

Stéphane Bullion - Agnès Letetsu

La Dame aux camélias les saisons passées :

Saison 2007-2008 
Plein Feux 
Programme et synopsis
Stéphane Bullion-Agnès Letestu
Review
DVD

Saison 2009-2010
Programme
Review Première 2 février 2010
Review

Stéphane Bullion - Agnès Letetsu




Saison 2013-2014


lundi 22 juillet 2013

Bye Bye 2012-2013


Sortie mystique avec Signes d’une programmation 2012-2013 pas très exaltante, la saison de ballets n’a pas vécu beaucoup de temps forts à Paris. Se sont succédés deux créations sans grand intérêt, deux classiques pas mémorables dont l’épouvantable Sylphide -alors que la compagnie a présenté Giselle aux Australiens- et plusieurs affiches mixtes aux œuvres inégales et parfois mal distribuées, dont on retient quand même la pièce magnétique de Merce Cunningham Un jour ou deux.  

Eleonora Abbagnato - Nicolas Le Riche 

Il aurait été possible de s’enthousiasmer pour l’affiche Roland Petit mais quel dommage d’avoir remplacé Le Jeune homme et la mort présent en 2010 par Carmen, surtout pour ne pas y distribuer Isabelle Ciaravola ! Cette faute de goût a eu néanmoins le mérite de célébrer enfin Eleonora Abbagnato, artiste trop tardivement couronnée, même si sa Mort aux côtés du Jeune homme est tout aussi inoubliable, voire plus, que sa Carmen et aurait tout aussi bien servi une nomination dans son répertoire de prédilection. 

Eleonora Abbagnato - Nicolas Le Riche 
La Troisième symphonie de Gustav Mahler a cruellement souffert de l’absence inexplicable de Nicolas Le Riche dans le rôle principal.  Son Roméo venait pourtant de sauver, avec le Solor de Stéphane Bullion et la Nikiya d'Agnès Letestu, le gala Noureev, hommage manquant un peu trop d’ambition. Cette défection laisse sceptique sur la programmation ces dernières années de ce danseur toujours aussi enthousiasmant, dans sa danse comme dans sa compréhension du répertoire. Heureusement, Stéphane Bullion qui rend tout ce qu'il danse spirituel, s'inscrit dans la même veine avec sa vision profonde des rôles qu'on lui confie. Sa partenaire de prédilection, Agnès Letestu, Nikiya souveraine,  a encore envoûté dans Kaguyahime même si le ballet a perdu de son impact visuel en passant de Bastille à Garnier, et dans Signes, ballet onirique qui a finalement mieux terminé la saison qu’elle n’avait commencé avec des Balanchine bien datés.

Stéphane Bullion - Agnès Letestu

Avec Ludmila Pagliero qui évacue toute la médiocrité du répertoire par son intelligence de la scène et son énergie rayonnante, ces artistes ont entretenu une flamme qui devrait se rallumer lors de la saison prochaine dont la succession d’œuvres au programme s’annonce très intéressante sur le papier, excepté encore une fois sur le seul vrai classique, bien poussiéreux, dans le fond comme dans la forme. Enfin... de Bausch à Cullberg en passant par Kylian et Preljocaj, des néoclassiques narratifs de Cranko et Petit, on trouve là au moins beaucoup de bonheurs en perspective  dans des ballets très riches si la distribution est à la hauteur ; et même si Nicolas Le Riche et Agnès Letestu vont quitter la compagnie, Stéphane Bullion et Ludmila Pagliero semblent prêts à assurer la relève.

Stéphane Bullion - Ludmila Pagliero 



dimanche 21 juillet 2013

Saison 2012-2013

Stéphane Bullion - Eve Grinsztajn
Balanchine
Serenade - Agon - Le Fils prodigue
24 septembre - 18 octobre 2012, Opéra Garnier
Programme



Marie-Agnès Gillot-Merce Cunningham
Sous apparence- Un jour ou deux
31 octobre - 10 novembre 2012, Opéra Garnier
Programme - ReviewRencontre Sous apparence


Don Quichotte
Rudolf Noureev
16 novembre - 31 décembre 2012, Opéra Bastille
Programme - Rencontre 



Emilie Cozette - Benjamin Pech
William Forsythe - Trisha Brown
In the middle somewhat elevated-O Zlozony / O Composite -Woundwork I - Pas./Parts
3-31 décembre 2012, Opéra Garnier
Programme



Le ballet hors les murs : Sydney Capitol Theater
Giselle
Jean Coralli/Jules Perrot
29 janvier - 9 février 2013
Programme

Kaguyahime
Jiri Kylian
1-17  février 2013, Opéra Garnier
Programme


Hommage à Rudolf Noureev
6 mars 2013, Opéra Garnier
Programme



Roland Petit
Rendez-vous - Le Loup - Carmen
15-29 mars 2013, Opéra Garnier
Programme - Eleonora Abbagnato



Troisième symphonie de Gustav Mahler
John Neumeier
9 avril-12 mai  2013, Opéra Bastille
Programme
Béjart-Nijinski-Robbins-Cherkaoui/Jalet
L'Oiseau de feu-L'Après midi d'un faune-Afternoon of a faun-Boléro
2 mai-3 juin 2013, Opéra Garnier
Programme
Le ballet hors les murs : 2013 Japan Tour
Les Enfants du paradis
José Carlos Martinez
25-26 mai 2013, Nagoya Aïchi arts centre
29 mai-1er juin 2013, Tokyo Bunka Kaikan
Programme

La Sylphide
Pierre Lacotte
22 juin-15 juillet 2013, Opéra Garnier
Programme


Signes
Carolyn Carlson
3-15 juillet 2013, Opéra Bastille
Programme -  Review