dimanche 6 décembre 2015

Christopher Wheeldon/Wayne McGregor/Pina Bausch 3-31 décembre 2015


Distribution de la Première, 3 décembre 2015

Polyphonia
Musique -  György Ligeti (Pièces pour piano)
Chorégraphie - Christopher Wheeldon (2001)
Costumes - Holly Hines
Lumières - Mark Stanley
Entrée au répertoire de l’Opéra de Paris
Piano - Michel Dietlin, Ryoko Hisayama
Durée: 30 min
Entrée au répertoire

Amandine Albisson, Léonore Baulac, Lydie Vareilhes, Jennifer Visocchi
Stéphane Bullion, Axel Ibot, Germain Louvet, Marc Moreau


Amandine Albisson et Stéphane Bullion

Alea Sands
Musique - Pierre Boulez (Anthémes 2, pour violon et électronique)
Chorégraphie - Wayne McGregor
Scénographie et composition musicale d'électricité pour le prologue - Haroon Mirza/hrm199
Costumes - Gareth Pugh
Lumieres - Lucy Carter
Réalisation informatique musicale Ircam - Andrew Gerzso, Gilbert Nouno
Régie informatique musicale Ircam - Carlo Laurenzi
Ingenieur du son Ircam - Serge Lacourt
Violon - Michael Barenboim
Durée 30 mn
Création

Marie-Agnès Gillot, Laura Hecquet, Léonore Baulac
Jérémie Bélingard, Mathieu Ganio, Audric Bezard, Vincent Chaillet





Le Sacre Du Printemps
Musique Originale - Igor Stravinski
Chorégraphie - Pina Bausch (1975)
Scenographie, Costumes - Rolf Borzik
Lumières  - Madjid Hakimi
Ballet entré au  répertoire de I'Opéra National de Paris le 9 juin 1997
Durée 35 mn
Orchestre de l'Opéra national de Paris
Direction musicale - Vello Pähn

Eleonora Abbagnato, Alice Renavand, Stéphanie Romberg, Muriel Zusperreguy, Aurélia Bellet, Christelle Granier, Séverine Westermann, Letizia Galloni, Emilie Hasboun, Charlotte Ranson, Laura Bachmann, Camille De Bellefon, Peggy Dursort, Katherine Higgins, Lucie Matéci, Ninon Raux
Karl Paquette, Vincent Cordier, Sébastien Bertaud, Aurélien Houette, Nicolas Paul, Alexis Renaud, Daniel Stokes, Simon Valastro, Matthieu Botto, Adrien Couvez, Yvon Demol, Alexandre Gasse, Maxime Thomas,Alexandre Carniato, Francesco Vantaggio, Takeru Coste


Eleonora Abbagnato

vendredi 20 novembre 2015

La Bayadère 17 novembre - 31 décembre 2015


La Bayadère 
Ballet en trois actes
Chorégraphie et mise en scène - Rudolf Noureev d'après Marius Petipa
Livret de Marius Petipa et Sergueï Khoudekov
Musique - Ludwig Minkus, réalisée et adaptée par John Lanchbery
Décors - Ezio Frigerio
Costumes - Franca Squarciapino
Lumières - Vinicio Cheli
Orchestre Colonne, direction musicale - Fayçal Karoui
Production créée pour le Ballet de l'Opéra de Paris le 8 octobre 1992

La description synoptique du ballet se trouve dans l'entrée du ballet du 17 mai 2010 

mardi 10 novembre 2015

Anne Teresa de Keersmaeker : Bartók/Beethoven/Schönberg

Nicolas Paul - Alice Renavand - Stéphane Bullion

Entrée au répertoire de trois œuvres d’Anne Teresa de Keersmaeker dont le précédent Rain n’avait pas fait l’unanimité à l’Opéra de Paris. Mais alors que les Etoiles avaient boudé Rain, sans doute parce qu’elles avaient mieux à faire, on n’en dénombre pas moins de cinq sur scène quasiment tous les soirs. Etait-ce bien nécessaire ? Vraisemblablement non.

Claire Gandolfi - Aurélia Bellet - Camille de Bellefon - Miho Fuji
Quatuor n°4 est la pièce dévouée aux moins gradées, quatre danseuses s’emparant d’une œuvre de jeunesse un peu datée. Esthétique surannée, minauderies et accès de tempérament, si Quatuor n°4 avait pu séduire dans les années 80, il n’en reste aujourd’hui que quelques tics et poses pas très intéressantes, des jeux de regards et de postures qui s’inscrivent difficilement sur la scène de l’Opéra Garnier. Des deux distributions proposées, celle des plus expérimentées Aurélia Bellet, Camille de Bellefon, Miho Fuji et Claire Gandolfi apporte une touche artistique qui donne un certain relief à des passages complètement insipides. Ici, le retour d’Aurélia Bellet sur scène après plus d’une année d’absence prend tout son sens et remet à jour l’image de ce qu’est une véritable artiste.

Adrien Couvez - Stéphane Bullion - Alice Renavand
Grosse Fuge utilise parfaitement la modernité de Beethoven pour une course épileptique à la verticalité, un rapport au sol et à la saltation permanent. Finalement, la distribution étoilée, Alice Renavand, Stéphane Bullion, Karl Paquette, soutenue par deux Premiers danseurs et les contemporanéistes de la troupe apporte ici beaucoup plus de poids à cette œuvre, dansée avec précision, rapidité et ampleur dans une grande assurance mais aussi la maîtrise d’un certain second degré. L’expérience de la scène et de la manière de s’en emparer s’en ressent, plus que par la virtuosité. Les danseurs s’y déploient par groupes sur des phrases musicales alors qu’Alice Renavand ne s’interdit pas de "duetter" avec Adrien Couvez, faisant jeu égal avec la masculinité dominant par le nombre. C’est sans doute la pièce la moins décevante des trois, car malgré sa magnifique scénographie, la Nuit transfigurée se révèle au finish un vulgaire méli-mélo digne d’un roman de gare. 

Adrien Couvez - Stéphane Bullion
La musique de Schönberg n’aide pas, lui qui a tant fait preuve de créativité, livre ici une œuvre de jeunesse bien quelconque et Anne Teresa de Keersmaeker s’engouffre dans une sentimentalité facile parfois à la limite du ridicule. Encore plus que dans Grosse Fuge, les solistes de la troupe y sont sous-employés, Marie-Agnès Gillot qui a été écartée des scènes parisiennes depuis plus d’un an n’ayant quasi à faire qu’un larmoyant solo inaugural qu’elle dévore comme pour illustrer les conséquences d’une cruelle absence. Alice Renavand dans la deuxième distribution y met plus de retenue, mais au finish, c’est Nicolas Paul qui gagne le seul moment dansant de cette pièce dans ses micro-solos introductif et final. 
Cette triple affiche sauvée par Beethoven et la personnalité artistique de certains danseurs reste très anecdotique et somme toute n’apporte rien au répertoire de la compagnie. 

Nicolas Paul


lundi 9 novembre 2015

Anne Teresa de Keersmaeker 22 octobre - 8 novembre 2015


Distributions de la Première, 22 octobre 2015

Quatuor n°4 
Musique- Béla Bartok
Chorégraphie et décors - Anne Teresa De Keersmaeker (1986)
Lumières - Anne Teresa De Keersmaeker et Herman Sorgeloos
Costumes -  Rosas 
Violons - Eric Lacrouts, Christophe Guyit
Alto - Pierre Lenert
Violoncelle  - Cyrille Lacrouts
Entrée au répertoire
Durée : 35 mn

Sae Eun Park, Juliette Hilaire, Charlotte Ranson, Laura Bachman

Sae Eun Park

Die Grosse Fuge 
Musique -  Ludwig van Beethoven, La grande fugue, opus 133
Chorégraphie - Anne Teresa De Keersmaeker  (1992)
Décors - Jean-Luc Ducourt, Jan Joris Lamers 
Costumes - Nathalie Douxfils, Rosas 
Analyse Musicale - Georges-Elie Octors 
Violons - Eric Lacrouts, Christophe Guyot
Alto - Pierre Lenert
Violoncelle - Cyrille Lacrouts
Entrée au répertoire
Durée 18 mn
Alice Renavand, Stéphane Bullion, Karl Paquette, Vincent Chaillet, Florian Magnenet, Nicolas Paul, Adrien Couvez, Alexandre Gasse
 de gauche à droite : Florian Magnenet, Karl Paquette, Stéphane Bullion


Verklärte Nacht 
Musique - Arnold Schönberg, La nuit transfigurée, op. 4, version pour orchestre à cordes
Chorégraphie - Anne Teresa De Keersmaeker  (1995)
Décors- Gilles Aillaud, Anne Teresa De Keersmaeker 
Costumes - Rudy Sabounghi 
Lumières - Vinicio Cheli 
Analyse Musicale - Georges-Elie Octors, Rosas 
Orchestre national de Paris
Direction Musicale-  Vello Pähn
Entrée au répertoire
Durée 30 mn

Emilie Cozette, Marie-Agnès Gillot, Léonore Baulac, Séverine Westermann, Letizia Galloni, Emilie Hasboun, Alice Catonnet, Katherine Higgins
Stéphane Bullion, Karl Paquette, Florian Magnenet, Nicolas Paul, Alexandre Gasse, Takeru Coste

Stéphane Bullion et Séverine Westermann

samedi 31 octobre 2015

Benjamin Millepied, Jerome Robbins, George Balanchine 25 septembre-11 octobre 2015



Clear, Loud, Bright, Forward
Musique - Nico Muhly
Chorégraphie - Benjamin Millepied
Scénographie - United Visual Artists
Lumières - Lucy Carter
Costumes - Iris Van Herpen
Création

Opus 19/ The Dreamer
Musique - Serguei Prokofiev (Concerto pour violon n°1 en ré majeur)
Direction musicale - Maxime Pascal
Chorégraphie - Jerome Robbins
Costumes - Ben Benson
Lumières - Mark Stanley
Entrée au répertoire

Thème et variations
Musique - Piotr Ilyitch Tchaikovski
Chorégraphie - George Balanchine
Lumières - Mark Stanley
Ballet entré au répertoire du Ballet de l'Opéra de Paris le 24 juin 1993

Modestement, l'affiche Robbins/Millepied/Balanchine est devenue entre la présentation de la saison et la première, Millepied/Robbins/Balanchine (l'ordre de présentation hein!). Ainsi, le lancement de la saison du Paris City Ballet s'effectuait avec une triple bill assortissant une création insipide et deux vieilleries américaines familières du directeur du ballet.
Si Thème et Variations a ses vertus, il n'en est pas de même de Opus 19/The Dreamer de Jerome Robbins, un pensum, il faut le dire.
Inutile de revenir sur la création gentillette de Benjamin Millepied, déjà vue lors du gala d'ouverture et qui, malheureusement, ne gagne rien à être revue. 

Mathieu Ganio

Quelle idée de faire entrer au répertoire Opus 19/The Dreamer ? On comprend bien le clin d'oeil symbolique du directeur à son mentor new yorkais mais pourquoi cette pièce ? Sa malhabile esthétique balanchinienne  n'arrange rien, ni pour les solistes, ni pour le corps de ballet mal à l'aise. Mathieu Ganio s'en sort grâce à l'étonnante capacité qu'il a acquis ces dernières années à rêver sur scène alors qu'on ne lui confie souvent que des rôles ennuyeux. C'est lui qu'on admire et pas cette pièce désuète comme on peut le constater avec les autres solistes.
Pourquoi avoir choisi également Thème et Variations pour ouvrir la saison, lorsque les danseurs reviennent de congés et ne sont pas au top de leur niveau, alors que ce ballet ne requiert justement que de la virtuosité ? Peu de distributions sur le papier, encore plus réduites par la suite, des danseurs inadéquates, une oeuvre gâchée. 
Benjamin Millepied a fait sa saison en fonction de ses goûts, ce qui est tout à fait légitime,  mais il a également fait aussi fi de son potentiel humain qui, in fine, est incapable de réaliser ses ambitions.

Mathieu Ganio






jeudi 24 septembre 2015

Gala d'ouverture de la saison


La Première saison de Benjamin Millepied a commencé par un gigantesque faux pas. Le gala d’ouverture bling bling qui n’avait que peu à voir avec la danse et qui de plus réservait le Défilé du ballet à une élite, celle de l’argent et du pouvoir. 
Le Défilé, c’est le rendez-vous annuel des danseurs et des balletomanes, c’est un moment de communion unique presque fait pour célébrer ce rapport entre le danseur, ici dans son rôle de femme et d’homme, et le public qui va l’acclamer pour ce qu’il est. La relation affective entre le danseur et le balletomane s’exprime librement au cours du défilé. C‘est aussi une présentation organique de toute la compagnie et de l’école de danse à apprécier comme un objet d’art brut, le seul moment de l’année où tous les danseurs sont en scène en même temps. Cette saison, cette célébration unique n’a pas eu lieu.

Au-delà de cet échec relationnel, ce gala avait déjà bien mal commencé sur le papier du point de vue de la danse. On change la musique du Défilé, on supprime le Robbins de la triple affiche qui suivait au profit d’un battage médiatique de la création du directeur du ballet et du Balanchine qui précédaient le Défilé privatisé. D’office, on avait décidé de ne pas célébrer la danse mais le partying. Pour commencer, on invite des célébrités qui se font photographier devant un calicot, on reçoit la ministre et même le Président de la République, puis on expédie vite fait la danse pour souper et faire la fête. 

Est-ce pour ça d’ailleurs que la danse n’y fut pas très brillante, la création, Clear, Loud, Bright, Forward  tant médiatisée s’avérant quelconque, une chorégraphie sans véritable direction artistique et devenant bien vite ennuyeuse. Le Thème et Variations de Balanchine souffrait visiblement d’un manque de répétition. Benjamin Millepied avait très envie de célébrer sa nouvelle étoile, Laura Hecquet, mais voilà, elle n’est pas faite pour ce ballet. Elle court sans cesse derrière la musique, souvent à la limite du déséquilibre et terminant même sur une main sa première variation. Son partenaire Josua Hoffalt est un peu plus à l’aise mais il y a un je ne sais quoi de débonnaire dans son attitude sur scène qui laisse penser que ce n’est pas le style de danse dans lequel il s’épanouit et il se contracte avec une partenaire, un peu trop grande pour lui peut-être. Le Défilé enfin, la musique de Wagner est d’autant moins adaptée que le public n’est pas familier de cet exercice et le subit sans savoir quoi faire. Les danseurs défilent presque tristement alors que la musique de Berlioz habituellement utilisée les galvanise et les magnifie. Un triste jour pour le Ballet de l’Opéra de Paris

mercredi 23 septembre 2015

lundi 17 août 2015

Bye Bye 2014-2015



Saison 2014-2015



Harald Lander - William Forsythe
Etudes - Woundwork1 - Pas./Parts
20 septembre - 4 octobre 2014, Opéra Garnier
Programme -  Review

Rain
Anne Teresa de Keersmaeker
21 octobre - 7 novembre 2014, Opéra Garnier
Programme 

Casse-Noisette
Rudolf Noureev
26 novembre - 31 décembre 2014 , Opéra Bastille
Programme
La Source
Jean-Guillaume Bart
29 novembre - 31 décembre 2014, Opéra Garnier
Programme

Nicolas Paul - Pierre Rigal - Benjamin Millepied - Edouard Lock
Répliques - Salut - Together alone - AndréAuria
3-20 février  2015, Opéra Garnier
Programme - Review

Le Chant de la terre
John Neumeier
24 février - 12 mars 2015, Opéra Garnier
Le Lac des cygnes
Rudolf Noureev
11 mars - 9 avril 2015, Opéra Bastille
Programme - Laura Hecquet Etoile

Histoire de Manon
Kenneth McMillan
20 avril-18 mai 2015, Opéra Garnier
Programme - Adieux Aurélie Dupont

Paquita
Pierre Lacotte
2-19 mai 2015, Opéra Garnier
Programme


Les Enfants du Paradis
José Martinez
28 mai - 6 juin 2015, Opéra Garnier

La Fille mal gardée
Frederick Ashton
29 juin - 14 juillet 2015, Opéra Garnier


L'Anatomie de la la sensation
Wayne McGregor
4-16 juillet 2015, Opéra Bastille



Miscellaneous
Bibliographie
Stéphane Bullion & AndréAuria

Œuvre de la saison 2014-2015
3-20 février, Opéra Garnier
AndréAuria
 


dimanche 16 août 2015

Stéphane Bullion & AndréAuria


Dans son portrait d'Etoile, Stéphane Bullion rend hommage à Edouard Lock et AndréAuria

samedi 15 août 2015

Œuvre de la saison 2014-2015

AndréAuria
Edouard Lock

Stéphane Bullion - Alice Renavand



samedi 6 juin 2015

Les Enfants du Paradis

Baptiste  - Stéphane Bullion

jeudi 28 mai 2015

Les Enfants du Paradis 28 mai - 6 juin 2015


Les Enfants du Paradis
Ballet en deux actes d'après le scénario de Jacques Prévert et le film de Marcel Carné
Musique - Marc-Olivier Dupin
Adaptation - François Roussillon et José Martinez
Chorégraphie - José Martinez
Décors - Ezio Toffolutti
Costumes - Agnès Letestu
Lumières - André Diot

Ballet de l'orchestre national de Paris
Direction musicale - Jean-François Verdier

Ballet créé pour le Ballet de l'Opéra de Paris le 21 octobre 2008

La description synoptique du ballet se trouve dans l'entrée sur le ballet de 2008 "Les enfants du paradis 21/10 - 8/11 2008"


Distribution de la première 28 mai 2015
Garance  Laëtitia Pujol
Baptiste Mathieu Ganio
Frédérick Lemaitre Karl Paquette
Lacenaire Vincent Chaillet
Nathalie Muriel Zusperreguy
La ballerine Nolwenn Daniel
Le comte Benjamin Pech
Madame Hermine Stéphanie Romberg
Desdémone Charlotte Ranson

samedi 2 mai 2015

Paquita 2- 19 mai 2015

Paquita
Ballet en deux actes
Livret - Paul Foucher et Joseph Mazilier
Musique -  Edouard-Marie-Ernest Deldevez et Ludwig Minkus adaptée et orchestrée par David Coleman
Adaptation et chorégraphie - Pierre Lacotte d'après Joseph Mazilier (1846) et Marius Petipa (1881)
Décors et costumes - Luisa Spinatelli
Lumières - Philippe Albaric

Orchestre des lauréats du Conservatoire
Direction musicale - Fayçal Karoui
Production créée pour le ballet de l’opéra national de Paris le 25 Janvier 2001

Argument du ballet dans l'entrée du 1er janvier 2008
Laura Hecquet

Distribution de la Première 2 mai 2015
Paquita - Laura Hecquet
Lucien - Karl Paquette
Inigo - François Alu

lundi 20 avril 2015

L'Histoire de Manon 20 avril - 18 mai 2015


L'Histoire de Manon
Ballet en trois actes d’après le roman de l’Abbé Prévost  L’histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut (1731)
Musique - Jules Massenet (extraits d’oeuvres musicales 1867-1910)
Nouveaux Arrangements et orchestration (2011) - Martin Yates
Chorégraphie et mise en scène (1974) - Kenneth MacMillan réglées par Karl Burnett et Gary Harris
Décors et costumes - Nicholas Georgiadis
Lumières - John B. Read
Orchestre de l'Opéra national de Paris
Direction musicale - Martin Yates

Ballet entré au répertoire du ballet de l'Opéra national de Paris le 9 novembre 1990
Argument du ballet dans l'entrée du 21 avril 2012

Mathieu Ganio - Laëtitia Pujol

Distribution de la Première, 20 avril 2015 
Manon Laëtitia Pujol
Des Grieux Mathieu Ganio
Lescaut, frère de Manon Stéphane Bullion
Sa maîtresse Alice Renavand
Monsieur de G.M. Benjamin Pech
Madame Viviane Descoutures

mercredi 11 mars 2015

Le Lac des cygnes 11 mars-9 avril 2015

Ballet en quatre actes
Sujet de Vladimir Begichev et Vassili Geltser
Musique - Piotr Ilyitch Tchaikovski
Chorégraphie et mise en scène - Rudolf Noureev d'après Marius Petipa et Lev Ivanov
Décors - Ezio Frigerio
Coostumes - Franca Squarciapino
Lumières - Vinicio Cheli

Orchestre de l'Opéra national de Paris
Direction musicale - Kevin Rhodes/Garret Keast (14, 16 mars et 9 avril)
Production créée pour le ballet de l'Opéra national de Paris le 20 décembre 1984

Argument du ballet dans l'entrée du 29 novembre 2010

Ludmila Pagliero

Distribution de la Première 11 mars 2015
Siegfried - Mathias Heymann
Odette/Odile - Ludmila Pagliero
Rothbart - Karl Paquette