jeudi 26 mars 2009
Jeunes Danseurs 26-28 mars 2009
Le Corsaire
Pas de trois des Odalisques, extrait de l'Acte II
Musique Adolphe Adam et Cesare Pugni
Chorégraphie Jean-Guillaume Bart d'après Marius Petipa (1863)
Costumes Franco Squarciapino
Danseurs :
Marion Barbeau, Valentine Colasante, Jennifer Visocchi
ou
Léonore Baulac, Juliette Hilaire, Silvia-Cristal Saint-Martin
durée : 10 mn
Le Papillon
Pas de deux, extrait de l'Acte II
Musique Jacques Offenbach
Chorégraphie Pierre Lacotte d'après Marie Taglioni (1860)
Costumes d'après les originaux dessinés par Alfred Albert
Pas de deux recréé le 23 décembre 1976 à l'Opéra de Paris
Danseurs : Marine Ganio, Allister Madin
durée : 14 mn
Le Lac des cygnes
Adage, extrait de l'Acte II
Musique Piotr llyitch Tchaikovski
Chorégraphie Rudolf Noureev d'après Marius Petipa et Lev Ivanov (1895)
Costumes Franco Squarciapino
production créée pour le Ballet de l'Opéra de Paris le 20 décembre 1984
Danseurs :
Héloïse Bourdon, Yvon Demol
ou
Laure-Adelaïde Boucaud, Yann Chailloux
durée : 8 mn
La Petite Danseuse de Degas
Acte I, extraits du deuxième tableau
Musique originale Denis Levaillant
Chorégraphie Patrice Bart
Livret Martine Kahane, Patrice Bart
Décor Ezio Toffolutti
Costumes Sylvie Skinazi
ballet créé pour le Ballet de l'Opéra de Paris le 25 avril 2003
Danseurs : Ludmila Pagliero, Aubane Philbert, Grégory Dominiak
durée : 13 mn
Tchaikovski - Pas de deux
Musique Piotr llyitch Tchaikovski extrait du Lac des cygnes (1877)
Chorégraphie George Balanchine (1960)
ballet entré au répertoire de l'Opéra de Paris le 31 octobre 1980
Danseurs : Charline Giezendanner, Marc Moreau
durée : 10 mn
Donizetti - Pas de deux
Musique Gaetano Donizetti
Chorégraphie Manuel Legris
Costumes Cécile Christy
première représentation le 27 juillet 2007, à Matsue, Japon
Danseurs : Eléonore Guérineau, Fabien Révillion
durée : 9 mn
Sylvia
Premier pas de deux, extrait de l'Acte 1
Musique Léo Delibes
Chorégraphie John Neumeier
Décor et costumes Yannis Kokkos
production créée pour le Ballet de l'Opéra de Paris le 30 juin 1997
Danseurs : Amandine Albisson, Yannick Bittencourt
durée : 8 mn
Figure libre
Musique Anton Webern Cinq mouvements pour quatuor à cordes, op. 5
Chorégraphie, scénographie et costumes Béatrice Martel
Lumières Fabrice Bobeuf
première représentation le 20 mars 2004, à l'Orangerie de Roissy en France
Danseurs : Fanny Gorse, Alexandre Gasse
durée : 10 mn
Aunis
Version pour trois danseurs
Musique Maurice Pocher
Chorégraphie Jacques Garnier (1979)
Accordéon diatonique Maurice Pacher - accordéon chromatique Gérard Baraton
ballet entré au répertoire du CRCOP en 1981 et au répertoire du Ballet de l'Opéra de Paris le 6 décembre 1990
Danseurs : Axel Ibot, Daniel Stokes, Mickaël Lafon
durée : 10 mn
mardi 17 mars 2009
La Troisième Symphonie de Gustav Mahler
La Troisième symphonie de Gustav Mahler est une oeuvre monumentale dont le visuel est imbriquée profondément dans la musique. La musique de Mahler est difficile à chorégraphier au-delà du simple pas de deux car elle porte peu de changements de tempi et la lenteur en fait souvent un handicap que l'on renonce à surmonter. La symphonie dure plus de 100 minutes et parait d'entrée comme une oeuvre culte.
John Neumeier se lance dans une aventure presque impossible mais avec une inventivité qui tient tout le ballet, prête un vocabulaire à chaque mouvement, identifie des personnages sans contours directs mais avec des lignes directrices profondes. Le rythme se fait par l'intensité donnée aux mouvements, le travail du danseur est extrême.
La scène nue de l'Opéra Bastille prête son immensité à quelque cinquante danseurs en collants ou justaucorps minimalistes. Le mouvement du corps est sans entrave et à l'avant-scène, pour communiquer, sinon une histoire, accompagner la musique dans son épopée. L'insistance du mouvement et le contraste avec la structure des formes élaborées par les corps ou par les groupes sont soulignées par un éclairage subtile, des pénombres ou des flots de lumières allant de paire avec le cours de la musique, soulignant également souvent les constructions géométriques de la chorégraphie.
I - HIER
"...Et tous nos hier n'ont fait qu'éclairer pour des fous le chemin de la mort poussiéreuse..." - William Shakespeare, Macbeth
"The movement starts as nature without life. Stone? Trees? Vibrations from the earth as elements of aggression. Man cannot free himself from the earth. He is exposed to the vibrations that create war and destruction. The first of these are seductive fragments in march rhythm; then episodes of more and more rousing march rhythms lead to explosions. But there are animal sounds as well. The leading figure is inf luenced by both elements." John Neumeier
Solennel et grandiose, le premier mouvement lance dans l'aventure, l'homme, ses acolytes et la guerre, avec une force subjuguante. Une masse neigeuse de danseurs masculins envahit la scène et structure l'espace, une puissance se dégage du groupe.
D'un point de départ statique et mécanique, les figures s'enrichissent et les corps dialoguent par groupe de dimensions variables dans des évolutions parfois simplement majestueuses, ou vraiment complexes avant de laisser place à des hommes en vert au tempérament plus fougueux, mais dont le leader semble incroyablement solitaire parfois.
Figures dominantes et apparitions stellaires se partagent 40 minutes de majesté ou de tourmente...
Grandiose.
John Neumeier se lance dans une aventure presque impossible mais avec une inventivité qui tient tout le ballet, prête un vocabulaire à chaque mouvement, identifie des personnages sans contours directs mais avec des lignes directrices profondes. Le rythme se fait par l'intensité donnée aux mouvements, le travail du danseur est extrême.
La scène nue de l'Opéra Bastille prête son immensité à quelque cinquante danseurs en collants ou justaucorps minimalistes. Le mouvement du corps est sans entrave et à l'avant-scène, pour communiquer, sinon une histoire, accompagner la musique dans son épopée. L'insistance du mouvement et le contraste avec la structure des formes élaborées par les corps ou par les groupes sont soulignées par un éclairage subtile, des pénombres ou des flots de lumières allant de paire avec le cours de la musique, soulignant également souvent les constructions géométriques de la chorégraphie.
I - HIER
"...Et tous nos hier n'ont fait qu'éclairer pour des fous le chemin de la mort poussiéreuse..." - William Shakespeare, Macbeth
"The movement starts as nature without life. Stone? Trees? Vibrations from the earth as elements of aggression. Man cannot free himself from the earth. He is exposed to the vibrations that create war and destruction. The first of these are seductive fragments in march rhythm; then episodes of more and more rousing march rhythms lead to explosions. But there are animal sounds as well. The leading figure is inf luenced by both elements." John Neumeier
Solennel et grandiose, le premier mouvement lance dans l'aventure, l'homme, ses acolytes et la guerre, avec une force subjuguante. Une masse neigeuse de danseurs masculins envahit la scène et structure l'espace, une puissance se dégage du groupe.
D'un point de départ statique et mécanique, les figures s'enrichissent et les corps dialoguent par groupe de dimensions variables dans des évolutions parfois simplement majestueuses, ou vraiment complexes avant de laisser place à des hommes en vert au tempérament plus fougueux, mais dont le leader semble incroyablement solitaire parfois.
Figures dominantes et apparitions stellaires se partagent 40 minutes de majesté ou de tourmente...
Grandiose.
II - ETE
"Flowers: they are beautiful for their own sake. They give inspiration through their beauty but they do not take part in our sorrow. They just stand there. And they are not related to anything." - John Neumeier
Après l'apocalypse du premier acte, l'homme se repose alors que le deuxième mouvement lance une humeur champêtre. Couples allegro et lyrique se partagent la scène avec un mini corps de ballet féminin dans des mouvements légers et stylés, avant de laisser la place au couple posthorn, figures intemporelles et mystérieuses. C'est une autre version des relations entre les corps.
"Flowers: they are beautiful for their own sake. They give inspiration through their beauty but they do not take part in our sorrow. They just stand there. And they are not related to anything." - John Neumeier
Couple lyrique
Nolwenn Daniel et Christophe Duquenne
Nolwenn Daniel et Christophe Duquenne
III - AUTOMNE
"It is the season for longing, a longing for human warmth, for a relationship ... but it is also a season for parting, the confrontation with Death as a concept." - John Neumeier
"It is the season for longing, a longing for human warmth, for a relationship ... but it is also a season for parting, the confrontation with Death as a concept." - John Neumeier
Aurélia Bellet - Audric Bezard - Alice Renavand
Le troisième mouvement est associé à la nostalgie de l'automne. Les couples se forment et de nouveau, la scène est envahie. Les silhouettes blanches posthorn semblent évoluer dans un monde à part, alors que s'éveillent les relations entre les individus.
IV - NUIT
"Ce mouvement est dédié à John Cranko et à sa compagnie" - John Neumeier
L'Homme, la Femme et l'Âme
Nicolas Le Riche-Delphine Moussin-Stéphane Bullion
Nicolas Le Riche-Delphine Moussin-Stéphane Bullion
Le moment magique de la symphonie...
La femme apparait seule pour un solo dans un silence glacial. Mise à nue, son extrême tension contient des émotions prêtes à exploser, mais tout reste incroyablement tendu.
Les gestes sont nets et tranchés mais sans violence, la souffrance vient de l'intérieur. L'Âme et l'Homme la rejoignent partageant ce recueil intérieur, image de la douleur non exprimable.
Une voix s'élève, l'Homme et l'Âme, incroyablement complémentaires de cette Femme en détresse, qui le dos à la scène, refuse un temps de confronter l'éventuel salut. Les corps bougent sans s'animer, désincarnés, transparents. Mouvements et positionnements sont précis et porteurs de sens, les regards se joignent aux gestes pour aller plus loin dans l'immatériel. Lyrisme de l'éternité qui ne s'atteint que dans la douleur, ambiance quasi mystique, souffrance ultime... et émotion.
V - ANGE
"The purity of children speaks to me in this movement. I wanted to start with the idea of the angel as transparent power and pure love combined with the picture of a child. The movement serves as an overture to the last movement of the symphony." - John Neumeier
Rupture totale avec l'apparition de l'ange, dans la musique, la chorégraphie et l'interprétation. On quitte les instants graves où chaque geste est mesuré et compté, pour un instant de légèreté et de pure enchantement. Les choeurs d'enfants s'élèvent et l'ange aussi...
VI- CE QUE ME CONTE L'AMOUR
"The thought of, and longing for, perfect love makes our lives tremendously valuable. But sometimes you cannot make it come true. In this movement the meetings are very fragmentary and sad, and the persons involved are constantly breaking up. In a "Pas de deux", the leading figure experiences a very intense relationship through his meeting with "The Angel" from the fifth movement. But even this meeting is transient. The godl ike principle of love is impossible to understand in its perfect ion. But you can feel it, in another person, for a while." - John Neumeier
La Femme et l'Âme dans le dernier mouvement
Delphine Moussin - Stéphane Bullion
La Femme et l'Âme dans le dernier mouvementDelphine Moussin - Stéphane Bullion
Le dernier mouvement de la symphonie est comme une marche vers la sérénité, comme un appel à l'éternité. La quintessence de l'humanité est sortie peu à peu des corps à travers les précédentes étapes et l'Homme marche vers quelque chose de nouveau, dans un état d'esprit régénéré.
L'Homme rencontre l'Ange et semble un temps stabilisé mais la quête continue et les couples reviennent hanter le plateau. Il n'est plus seul et pourtant, les attaches sont très fines et se rompent. Magnifique pas de deux qui emporte l'Ange dans les airs et élève le spectateur vers des aspirations nouvelles... L'inquiétude s'enfuie mais la sérénité ne s'atteind pas dans le nombre...
L'Homme rencontre l'Ange et semble un temps stabilisé mais la quête continue et les couples reviennent hanter le plateau. Il n'est plus seul et pourtant, les attaches sont très fines et se rompent. Magnifique pas de deux qui emporte l'Ange dans les airs et élève le spectateur vers des aspirations nouvelles... L'inquiétude s'enfuie mais la sérénité ne s'atteind pas dans le nombre...
Delphine Moussin- Stéphane Bullion
vendredi 13 mars 2009
La Troisième Symphonie de Gustav Mahler 13 mars-11 avril 2009
Troisième symphonie de Gustav Mahler
Musique - Gustav Mahler
Chorégraphie décor et lumières - John Neumeier (1975)
Réalisation lumières - Madjid Hakimi
Orchestre de l'Opéra national de Paris
Direction musicale - Klauspeter Seibel / Simon Hewett (21, 23 & 25 mars)
Mezzo-soprano - Dagmar Peckova
Entrée au répertoire
Propos du ballet (source www de l'Opéra national de Paris)
Musique - Gustav Mahler
Chorégraphie décor et lumières - John Neumeier (1975)
Réalisation lumières - Madjid Hakimi
Orchestre de l'Opéra national de Paris
Direction musicale - Klauspeter Seibel / Simon Hewett (21, 23 & 25 mars)
Mezzo-soprano - Dagmar Peckova
Entrée au répertoire
Propos du ballet (source www de l'Opéra national de Paris)
Le premier mouvement – la Terre - est monumental. Beaucoup virent d’ailleurs dans le finale grandiose une fête bacchanale. Mahler avait d’abord baptisé ce mouvement L’éveil de Pan puis L’été fait son entrée, avant de renoncer à donner des noms à ses mouvements pour permettre à l’auditeur de les recevoir en toute liberté.
Après ce déchaînement de forces telluriques, retour au calme et à la sérénité avec le second mouvement – la végétation. Champêtre, parfois aérien, c'est un tableau romantique de la Nature au sein de laquelle l'Homme va se ressourcer : une page insouciante comme seules savent l'être les fleurs, dira Mahler.
Le scherzo qui constitue le troisième mouvement – les animaux - poursuit ce voyage en dressant un bestiaire burlesque, souvent drôle, des animaux de la forêt. Mais voici qu'un crescendo vertigineux de cuivres et de percussions nous saisit et nous emporte vers une nouvelle tempête de forces astronomiques.
Avec le quatrième mouvement – l’Homme - nous nous acheminons du monde purement instrumental vers le monde de la voix. Le tremblement des cordes abolit le monde physique et nous plonge dans ce qui s’apparente à un songe. Une atmosphère appelant un lied d'une grande douceur (extrait de Ainsi parlait Zarathoustra de Friedrich Nietzsche). Le songe prend fin.
La voix demeure au centre de l'avant-dernier mouvement – les anges - qui donne à entendre un chœur d'enfants. Le recueil de poèmes germaniques - Des Knaben Wunderhorn ou Le Cor merveilleux de l’enfant - dont est issu le thème est un ensemble de légendes populaires du Moyen-Age qui enthousiasmèrent Goethe et les frères Grimm.
Le sixième et dernier mouvement – l’amour– laisse s’élever un hymne à cette force garante de l’harmonie universelle. La symphonie se conclut dans un apaisement méditatif.
Après ce déchaînement de forces telluriques, retour au calme et à la sérénité avec le second mouvement – la végétation. Champêtre, parfois aérien, c'est un tableau romantique de la Nature au sein de laquelle l'Homme va se ressourcer : une page insouciante comme seules savent l'être les fleurs, dira Mahler.
Le scherzo qui constitue le troisième mouvement – les animaux - poursuit ce voyage en dressant un bestiaire burlesque, souvent drôle, des animaux de la forêt. Mais voici qu'un crescendo vertigineux de cuivres et de percussions nous saisit et nous emporte vers une nouvelle tempête de forces astronomiques.
Avec le quatrième mouvement – l’Homme - nous nous acheminons du monde purement instrumental vers le monde de la voix. Le tremblement des cordes abolit le monde physique et nous plonge dans ce qui s’apparente à un songe. Une atmosphère appelant un lied d'une grande douceur (extrait de Ainsi parlait Zarathoustra de Friedrich Nietzsche). Le songe prend fin.
La voix demeure au centre de l'avant-dernier mouvement – les anges - qui donne à entendre un chœur d'enfants. Le recueil de poèmes germaniques - Des Knaben Wunderhorn ou Le Cor merveilleux de l’enfant - dont est issu le thème est un ensemble de légendes populaires du Moyen-Age qui enthousiasmèrent Goethe et les frères Grimm.
Le sixième et dernier mouvement – l’amour– laisse s’élever un hymne à cette force garante de l’harmonie universelle. La symphonie se conclut dans un apaisement méditatif.
mardi 10 mars 2009
vendredi 6 mars 2009
Le Parc 6-19 mars 2009
Le Parc
Chorégraphie - Angelin Preljocaj
Musiques - Wolfgang Amadeus Mozart, extraits de pièces pour cordes et de concertos pour piano
Création sonore - Goran Vejvoda
Décors - Thierry Leproust
Costumes - Hervé Pierre
Lumières - Jacques Chatelet
Ballet créé pour le Ballet de l'Opéra de Paris en avril 1994
Orchestre Colonne - direction musicale Koen Kessels, au piano Elena Bonnay
Découpage du ballet (Programme Opéra de Paris)
OUVERTURE
Adagio de la Symphonie n°36 dite de « Linz » en do majeur — K. 425
ACTE PREMIER
LES JARDINIERS - (Bande-son)
1. Adagio et fugue en ut mineur — K. 546 : Les représentants des deux sexes s'observent
2. Danses allemandes — K. 571 : Jeux d'approche
3. Andantino du Concerto pour piano n°l4 — K. 449 : Rencontre
ACTE DEUXIÈME
LES JARDINIERS (Bande-son)
4. Rondo de la Petite Musique de Nuit - K. 525 : Tendres appas
5. Andantino du Divertimento n°II en ré majeur — K. 251 : Désirs
6. Presto de la Plaisanterie Musicale pour cordes et deux cors — K. 522 : Conquête
7. Andantino du Concerto pour piano n°l5 - K. 450 : Résistance
INTERMEZZO
Adagio de la Symphonie n°36 dite de « Linz » en do majeur — K. 425
ACTE TROISIÈME
8. Rêve - (Bande-son)
9. Adagio extrait de V Adagio et fugue pour cordes, d'après J.-S Bach — K. 404a : Lamentation
10. Allegro du Divertimento en si bémol majeur - K. 137 : Ardeur
11. Adagio de la Sérénade « Haffner » - K. 250 : Pâmoison
12. Adagio du Concerto pour piano n°23 — K. 488 : Abandon
ÉPILOGUE
LES JARDINIERS (Bande-son)
Chorégraphie - Angelin Preljocaj
Musiques - Wolfgang Amadeus Mozart, extraits de pièces pour cordes et de concertos pour piano
Création sonore - Goran Vejvoda
Décors - Thierry Leproust
Costumes - Hervé Pierre
Lumières - Jacques Chatelet
Ballet créé pour le Ballet de l'Opéra de Paris en avril 1994
Orchestre Colonne - direction musicale Koen Kessels, au piano Elena Bonnay
Découpage du ballet (Programme Opéra de Paris)
OUVERTURE
Adagio de la Symphonie n°36 dite de « Linz » en do majeur — K. 425
ACTE PREMIER
LES JARDINIERS - (Bande-son)
1. Adagio et fugue en ut mineur — K. 546 : Les représentants des deux sexes s'observent
2. Danses allemandes — K. 571 : Jeux d'approche
3. Andantino du Concerto pour piano n°l4 — K. 449 : Rencontre
ACTE DEUXIÈME
LES JARDINIERS (Bande-son)
4. Rondo de la Petite Musique de Nuit - K. 525 : Tendres appas
5. Andantino du Divertimento n°II en ré majeur — K. 251 : Désirs
6. Presto de la Plaisanterie Musicale pour cordes et deux cors — K. 522 : Conquête
7. Andantino du Concerto pour piano n°l5 - K. 450 : Résistance
INTERMEZZO
Adagio de la Symphonie n°36 dite de « Linz » en do majeur — K. 425
ACTE TROISIÈME
8. Rêve - (Bande-son)
9. Adagio extrait de V Adagio et fugue pour cordes, d'après J.-S Bach — K. 404a : Lamentation
10. Allegro du Divertimento en si bémol majeur - K. 137 : Ardeur
11. Adagio de la Sérénade « Haffner » - K. 250 : Pâmoison
12. Adagio du Concerto pour piano n°23 — K. 488 : Abandon
ÉPILOGUE
LES JARDINIERS (Bande-son)
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