
dans la Troisième Symphonie de Gustav Mahler de John Neumeier
mais aussi dans Onéguine de John Cranko et
Proust ou les intermittences du coeur de Roland Petit

ici dans Raymonda, version Rudolf Noureev
mais aussi dans In The Night de Jerome Robbins

dans Le Parc d'Angelin Preljocaj

ici dans Raymonda, version Rudolf Noureev
mais aussi dans En Sol de Jerome Robbins

ici après l'Arlésienne de Roland Petit
mais aussi merveilleux dans Le Sacre du Printemps de Maurice Béjart
dans Raymonda version Rudolf Noureev